Adèle Castillon - Goldencoast
Personnaliser les préférences en matière de consentement

Nous utilisons des cookies pour vous aider à naviguer efficacement et à exécuter certaines fonctionnalités. Vous trouverez des informations détaillées sur tous les cookies sous chaque catégorie de consentement ci-dessous.

Les cookies qui sont catégorisés comme « nécessaires » sont stockés sur votre navigateur car ils sont essentiels pour permettre les fonctionnalités de base du site. ... 

Toujours actif

Les cookies nécessaires sont cruciaux pour les fonctions de base du site Web et celui-ci ne fonctionnera pas comme prévu sans eux. Ces cookies ne stockent aucune donnée personnellement identifiable.

Aucun cookie à afficher.

Les cookies fonctionnels permettent d'exécuter certaines fonctionnalités telles que le partage du contenu du site Web sur des plateformes de médias sociaux, la collecte de commentaires et d'autres fonctionnalités tierces.

Aucun cookie à afficher.

Les cookies analytiques sont utilisés pour comprendre comment les visiteurs interagissent avec le site Web. Ces cookies aident à fournir des informations sur le nombre de visiteurs, le taux de rebond, la source de trafic, etc.

Aucun cookie à afficher.

Les cookies de performance sont utilisés pour comprendre et analyser les indices de performance clés du site Web, ce qui permet de fournir une meilleure expérience utilisateur aux visiteurs.

Aucun cookie à afficher.

Les cookies de publicité sont utilisés pour fournir aux visiteurs des publicités personnalisées basées sur les pages visitées précédemment et analyser l'efficacité de la campagne publicitaire.

Aucun cookie à afficher.

Adèle Castillon

A 20 ans, malgré cette jeunesse insolente qui nimbe son regard brun d’un éclat pur et vif, Adèle Castillon a déjà vécu plusieurs vies, fictionées ou réelles. De quoi nourrir sans effort les textes intimistes d’un premier album racontant sans fard une première rupture amoureuse, les tourments de la dépendance affective et de la dépendance tout court. Le tout avec cette authenticité et cette fraîcheur poétiques qui rendaient déjà irrésistibles les chansons de Vidéoclub, le duo électro pop à la nostalgie très 80’s – façon Odezenne meets Elli et Jacno – qu’elle forma à Nantes avec Matthieu Reynaud, à l’âge de dix-sept ans. […]

Alors qu’elle était encore au lycée, un premier amour, fulgurant comme toutes les premières fois, lui donnera envie de monter Vidéoclub avec son amoureux d’alors. Le clip d’« 
Amour plastique », bricolé avec les moyens du bord et partagé par un acteur mexicain d’une série Netflix qui le rendra viral, leur attirera des dizaines de millions de streams. Une légende naîtra, achevée par une tournée et un dernier clip, « SMS », résumant avec malice trois ans d’amour et annonçant leur rupture. 

Une autre qu’Adèle Castillon aurait pu s’y perdre. Mais la suite, c’est elle qui l’écrit, seule, force tranquille malgré des fragilités assumées, et un parcours cahoteux qui se dessine derrière le titre parfaitement aligné de ce premier album si prometteur. Signée sur le label musique 
d’Iconoclast, la boîte de production d’images ultra-créatives, elle a trouvé en Surkintalent affûté de l’électro aussi précoce qu’elle, le partenaire idéal pour tracer à deux un horizon musical neuf, alliant l’innocence de la pop française à un esprit homemade et jusqu’au boutiste, nourri d’impeccables références, aussi variées que la playlist très génération Z d’Adèle Castillon, à Taxi Girl, Suicide, Billie Eilish, Madonna, Beach House, Tame Impala, Chromatics, Miley Cyrus, Daft Punk Lio, Damso, Muddy Monk, Mylène Farmer ou Agar Agar. Les débuts frémissants d’une jeune artiste qui devrait, on le parie, compter dans les mois à venir.